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Au commencement

Pour nous, la naturalité est devenue un mode de vie. Engagés en Permaculture à notre humble niveau, nous essayons de retrouver les actions du quotidien qui font du bien à l’âme, aux autres…à nous-mêmes, sans faire de mal à la Terre. Un peu de résilience ne peut pas nuire. La Datcha de Katia  a été créée dans cet esprit. Nous vous invitons à découvrir Notre Philosophie.

Katia

Katia de la Datcha de Katia

" J’ai 5 ans quand, lors de vacances estivales en pleine nature avec mes grands-parents (mon grand-père était apiculteur), je m’égare dans une immense forêt de l’Oural. Je chemine au gré des sons et contourne les obstacles, je mange les baies généreuses et je bois l’eau des sources ; je dors sous des arbres bienveillants et parle aux étoiles …et je trouve finalement un village, par chance, après 3 jours d’errance. Je ne me rappelle pas avoir pleuré ou même eu peur. J’étais en harmonie avec les éléments autour de moi. A l’époque, tous les villageois et les forces de l’ordre avaient été mobilisés pour me retrouver. Les journalistes de la région en ont fait leurs choux gras. Aujourd’hui, je me dis que cette expérience n’était pas le fruit du hasard. Mon sens de l’orientation ne s’est malheureusement pas amélioré… mais je me soigne ! Ce qui me sauve, c’est ma curiosité : je suis des cours de phytothérapie, j’ai découvert le pouvoir des huiles essentielles…et j’utilise encore aujourd’hui les nombreuses recettes de Babouchka (grand-mère) et Diédoushka (grand-père). Croyez-le ou non, je ne suis quasiment jamais allée consulter un médecin depuis mon arrivée en France il y a bientôt 5 ans ! C’est plutôt bon signe. "

Stéphane

Stéphane de la Datcha de Katia

" A l’école déjà, on m’affuble du surnom de "vert de terre" ou encore « grenouille », en référence à mes convictions marquées sur les sujets environnementaux. Si j’avais compris à l’époque la valeur de ces sobriquets, à l’image de ces lombrics qui travaillent inlassablement la terre pour nous… Plus tard, je voyage et use beaucoup de chaussures, sac sur le dos pendant une année. J’observe le monde, partage et expérimente tant de choses. Je suis sans adresse, je suis une éponge. Souvent, je prends l’avion aussi, je l’avoue, je suis loin d’être parfait ! Empreinte Carbone assez  médiocre, donc. Certains diront que je suis un homme de mon temps. D’un autre temps, en partie révolu. Je vis un temps en Chine, pays du thé par excellence. C’est vraiment là-bas, dans l’ancien Empire du Milieu, que je développe mon goût pour le Camelia Sinensis. Sur les bancs de l’université, avec des profs ou étudiants chinois, japonais, coréens, on boit cette « eau chaude aromatisée de feuilles vertes qui flottent ». Longjing Cha (thé du Dragon), Moli Hua Cha (thé de fleurs),  Lu Cha (thé vert nature) … à longueur de journée. Pas étonnant que ces connexions cosmopolites m’amènent à cette belle aventure grâce à ma rencontre avec Katia. "

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